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 We are friens, aren't we ? Thalie & Melody

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Melody E. Lauridson
Melody E. Lauridson

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MessageSujet: We are friens, aren't we ? Thalie & Melody   We are friens, aren't we ? Thalie & Melody EmptySam 22 Aoû - 12:43

« We are friends, aren’t we ? » Thalie & Melody.

We are friens, aren't we ? Thalie & Melody Cdp8 We are friens, aren't we ? Thalie & Melody 44
©️ eleen_moon & enkard


    Pour une fois, il y avait un grand soleil sur Forks et ses environs. Un beau samedi ensoleillé, pour changer un peu des week-end pluvieux. Toujours dans mes grandes recherches que je jugeais comme importantes, j'essayais parfois de prendre des pauses. Lunettes sur le nez, ordinateur portable devant moi, je cherchais maintenant une librairie qui pourrait m'éclairer. Il y en avait une ! A Port Angeles, près de chez moi. Je pris un papier et j'en profitai pour écrire l'adresse de la librairie.
    Je me levais et partis me préparer. Heureusement, aujourd'hui la librairie était ouverte. Un peu de chance ne me faisait pas de mal. Surtout qu'en ce moment, la poisse me poursuivait.

    Enfin prête, je laissais mes lunettes sur mon ordinateur, maintenant éteint et je vérifiais que tout était bien fermé. Je partis à pied, mains dans les poches de mon sweat. Il y avait tout de même un petit vent qui balançait mes cheveux en arrière. Pour une fois, je les avais lâchés, donc laissés au naturel. Des rafales de vent fouettaient mon visage. Je n'avais plus qu'une envie : me retrouver dans la petite librairie, à l'abri de l'air.

    Devant la porte, j'hésitais à entrer. Comme-ci quelque chose me disait de faire demi-tour. Je mis finalement la main sur la poignée et ouvrit la porte. Un petit grelot situé au dessus retentit pour signaler que quelqu'un entrait.

    Melody - « Bonjour... »

    Ma voix n'était pas extrêmement forte, mais au moins j'avertissais les gens de ma présence. Chose étrange... Il n'y avait personne. Ni le vendeur, ni même un client. Complètement vide. Tant pis ! Je devais trouver mon livre. Il n'était pas trop compliqué de trouver ce que je cherchais, puisqu'il n'y avait que quatre étagères remplis de livres. Seulement je ne trouvais pas ce que je voulais. Ni dans les phénomènes inexpliqués, ni dans les phénomènes paranormal. Finalement je me rendis au comptoir dans l'espoir de voir quelqu'un sortir de la réserve. Seulement, cela faisait déjà 10 minutes que j'étais seule.

    Melody
    - « Il y a quelqu'un ? J'aimerais avoir un renseignement s'il vous plait ! »

    Aucun réponse. A croire qu'on me faisait une mauvaise blague. Tant pis, je chercherais toute la journée s'il le fallait. J'étais déterminée à trouver un livre qui m'expliquerait ce que je devais savoir. Finalement je refis le tour des étagères et je cherchais encore plus au fond. Un vieux livre assez gros tomba à mes pieds en rependant de la poussière un peu partout. Normalement, quelqu'un m'aurait dit de faire attention, mais vu qu'il n'y avait personne, je pouvais faire ce que je voulais. Je me penchais donc pour ramasser le livre qui avait comme titre "ils existent". Mes yeux se plissèrent. J'ouvris le livre à une page quand je crus entendre du bruit. Je fermais le livre qui claqua avec la vitesse et ma tête pencha sur le côté des étagères. Pourtant il n'y avait personne à l'entrée. A moi qu'il ou elle se soit faufilé, pour moi il n'y avait personne. Je rouvris donc le livre doucement pour apprendre ce que je ne connaissais pas.
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thalie d. di maccio
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MessageSujet: Re: We are friens, aren't we ? Thalie & Melody   We are friens, aren't we ? Thalie & Melody EmptySam 22 Aoû - 14:07

« Il est amusant de voir que plus les humains progressent, plus leur foi dans les sciences augmente et dirige leur univers, moins nous courons le risque d’être découverts. »
révélation – page 724



    Aujourd’hui ne devait pas être un jour comme les autres, il suffisait d’admirer les cieux pour s’en rendre compte, le soleil rayonnait. Ce temps me faisait sourire, ça faisait si longtemps que je n’avais pas vu cet astre scintillant, depuis que j’ai quitté l’Italie pour être précise. Je regardais à travers la fenêtre de ma voiture, les paysages défilaient à une vitesse fulgurante, mais il ne faut pas l’oublier, ma vue dépasse de loin celle des mortels, je distinguais donc clairement la moindre des brindilles, la plus petite des feuilles jonchant le sol humide, jusqu’à la goutte perlant sur une fleur. La forêt grouillait de vie animale, au loin, je pouvais voir une biche aussi petite que frêle, d’après moi, elle ferait mieux de partir, il ne faut pas oublier que les vampires sont « végétariens » ici, ils s’abreuvent donc de sang animal. Peu importe, cet animal ne m’intéresse en aucun point !

    Le trajet fut court, j’arrivais enfin à Port Angeles, une ville bien plus grande que Forks, bien moins morte surtout, je voyais un bon nombre de commerçants particulièrement intéressants, notamment une boutique de vêtements, passionnant ! Je sortais de ma voiture, une Chevrolet impala de 1967 aussi noir que l’ombre. J’attrapais mon ombrelle et l’ouvris car, comme tout vampire, je brille au soleil. Les yeux étaient rivés sur moi, du moins, ceux des hommes mais aussi ceux de certaines femmes envieuses. Et bien sûr, il y a les jalouses frustrées, si je peux les appeler ainsi … « Regarde cette idiote, elle à cru qu’il pleuvait ou quoi ?! » entendis-je dire. « ouai, quelle coincée ! » lui répondit son amie. Ces propos me firent sourire, je continuais d’arpenter les rues de Port Angeles et ce qui devait se produire se produit (comme je suis logique !). J’arrivais à la hauteur de ces deux filles qui explosèrent de rire en me voyant arriver, je fis de même, levant les yeux au ciel. Elles étaient toutes les deux blondes, enfin, à la base, elles devaient être brune, des filles superficielles une fois de plus … La première me fixa de ses yeux marron boueux. « hé, tu as un problème sale pétasse » me lâcha-t-elle. Je n’avais même pas besoin de lui répondre, lui sourire fus amplement suffisant, je lui dévoilais mes dents d’un blanc immaculé, aussi aiguisées que la lame d’une épée. Les deux me regardèrent puis tressaillirent. Pfff, les gens sont devenus si pathétiques …

    J’étais enfin débarrassée de ces idiotes, bon, je devais aller acheter quelques livres afin de passer le temps, oui, l’éternité, c’est long … Je regardais autour de moi, là, je vis un magasin minuscule, l’enseigne était banale, de couleur noire et blanche, un livre était dessiné sur la vitrine, sur la porte, la pancarte affichait ouvert. Je traversais donc l’avenue bondée en utilisant mes ‘talents’ vampirique. J’entrais donc dans la librairie. Elle était vide ou presque, en effet, une jeune fille blonde tenait un livre, ils existent, c’était le titre de cet étrange et vieux bouquin. Qui donc, nous ? oui, nous existons !

    Lorsqu’elle cru entendre un bruit, je m’éclipsais dans un recoins de la boutique et lorsqu’elle se retourna, je revins à ma place initiale, près de la porte d’entrée. Étrangement, il n’y avait aucun vendeur, visiblement, ils n’ont pas pensé aux vols … Soudain, le ventilateur accroché au plafond se mit en marche, et là, l’odeur suave … Cette humaine avait une très bonne odeur, elle avait beaucoup de chance, je venais de chasser, ce pauvre homme avait fait une erreur en quittant le sentier de randonnée, mais je suis gourmande, c’est un pêché, non ? Je me bloquais la respiration et m’approchais silencieusement de cette petite. « buongiorno » dis-je d’une voix posée, j’avais pris une intonation humaine afin de ne pas éveiller les suspect, vu le livre qu’elle tenait … « Vous cherchez quelque chose ? Je ne travaille pas ici, mais je peux toujours vous aider » continuai-je sur le même ton. Je souris chaleureusement à cette étrangère à l’odeur envoûtante tout en attendant l’arrivée d’une vendeuse car moi aussi, j’avais besoin d’un renseignement …
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Melody E. Lauridson
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MessageSujet: Re: We are friens, aren't we ? Thalie & Melody   We are friens, aren't we ? Thalie & Melody EmptySam 22 Aoû - 15:26

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    Toujours personne. A croire qu'il n'y avait même pas de caméras de surveillance. Où était passé ce vendeur à la fin ! J'aurais bien aimé jeter un oeil dans la réserve, mais il valait mieux que je reste à ma place. Maintenant que j'avais ce livre dans la main, je ne pouvais que l'ouvrir une seconde fois pour voir son contenu. Alors que je l'ouvrais à nouveau, je vis un mot étrange écrit en plein centre : "ces créatures qui nous appelons... "
    Une voix me fit sortir de ma lecture. Je crus même avoir une crise cardiaque tellement la présence de quelqu'un m'avait surprise.

    Iconnue -> « buongiorno »

    Une italienne, en plus ? Je ne connaissais rien en italien mais je savais tout de même ce que voulait dire ce mot. Je voulais lui répondre, mais la jeune femme continua.

    Inconnue -> « Vous cherchez quelque chose ? Je ne travaille pas ici, mais je peux toujours vous aider »

    C'est à ce moment que je levais les yeux sur elle. Quelle beauté... Eblouissante ! J'en devenais presque envieuse. Même si je ne me considérais tout de même belle, cette jeune femme me battait niveau beauté. Je ne pouvais m'empêcher de la regarder, ne sachant plus quoi dire pendant quelques secondes. J'avais l'habitude de regarder les personnes sous tous ses aspects. De toute façon, si je voulais devenir journaliste, il fallait que je sois attentive à tout. Ce qui me frappait le plus restait aussi la couleur de la peau. Je paraissait bronzée par rapport à elle. Finalement, je me ressaisis et mes yeux se posèrent sur le livre.

    Mélody -> « Bonjour...Non en fait je viens de trouver ce qui m'intéressais, mais merci tout de même »

    Un petit sourire apparut sur mon visage. Je me sentais moins assurée qu'avant, mais je gardais toujours cette expression qui montrait que j'avais confiance en moi. Le livre restait ouvert dans mes mains et des témoignages de plusieurs personnes parlaient de créatures aux dents acérés qui buvaient le sang de leur victime. Mais aussi de grands chiens ici pour protéger les humains. Malheureusement, je ne regardais plus le livre, mais le comptoir où devait se trouver normalement le vendeur. Mon regard se dirigea finalement vers la jeune femme qui semblait presque immobile.

    Mélody -> « Excusez-moi mais... Vous n'auriez pas vu le vendeur par hasard ? Je voudrais prendre ce livre, seulement cela fait 20 minutes que j'attends »

    On aurait dit que je m'impatientais, mais en réalité je me demandais bien ce que je devais faire maintenant. Poser l'argent sur le comptoir et partir ? Ou attendre encore ? De toute façon je n'étais plus seule, donc autant attendre avec de la compagnie. Si au moins je me doutais que je risquais ma vie dans cet endroit, je serais déjà rentrée. Mais j'ignorais encore tout de la situation. Il ne restait plus beaucoup de temps avant que je sois au courant de tout. Je ne comprenais pas encore le danger que j'encourais à vouloir savoir la vérité. J'étais bien trop tête de mule pour m'arrêter en pleine recherche. La question restait si j'allais vivre encore longtemps ?
    J'espérais maintenant que cette jeune femme puisse répondre à ma question. Mais je pensais qu'elle aussi était dans mon cas. En tout cas, ça ne coûtait rien de demander un renseignement. J'en oubliais presque le poids du livre, grand ouvert, posé sur mes mains. Mon occupation première restait de voir si le vendeur allait arriver ou non. Ma recherche passait maintenant en second.
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thalie d. di maccio
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MessageSujet: Re: We are friens, aren't we ? Thalie & Melody   We are friens, aren't we ? Thalie & Melody EmptyDim 23 Aoû - 21:11

« Le siècle cruel et furieux qui vient de s’écouler a engendré des armes d’une telle puissance que même les immortels sont susceptibles de ne pas y résister. »
Révélation – page 724

    Lorsque l’inconnue découvrit ma présence, elle sursauta, je faisais si peur que ça ? L’odeur qu’elle dégageait était très forte, j’entendais son cœur battre, je pouvais sentir son sang … Bref, c’est donc pour cela que je cessai de respirer, si je pouvais appeler ça comme ça bien sûr ! Je la voyais me dévisager, heureusement que j’avais pensé à mettre des lentilles de contact, au risque d’être démasqué car, bien que notre existence fût un secret bien gardé, certains humains restaient sceptiques, cette jeune femme en faisait partie, le livre qu’elle lisait me mis tout d’un coup mal à l’aise, surtout lorsque je vis le mot « vampire ». Je secouai discrètement la tête afin de me ressaisir. L’étrangère était blonde, mince et élancée, tout juste plus petite que moi, ces cheveux retombaient gracieusement le long de son dos, très belle, même pour une humaine …

    L’inconnue :
    « Bonjour...Non en fait je viens de trouver ce qui m'intéressais, mais merci tout de même »

    Elle me souris, je fis la même chose, après tout … Je ne suis pas quelqu’un d’hostile, bien que parfois misanthrope, je tiens à ma liberté et j’aime le voyage, je suis venu ici pour vivre normalement. Le Washington est un état charmant, bien que très humide, mais ce mauvais temps va en mon avantage, nous autres vampires doivent éviter le soleil, bien que ça nous soit inoffensif contrairement à ce que disent certains livres et films, nous ne dormons pas dans des cercueils, correction, nous ne dormons pas du tout et nous sommes incapables de nous transformer en chauve-souris !

    L’inconnue : « Excusez-moi mais... Vous n'auriez pas vu le vendeur par hasard ? Je voudrais prendre ce livre, seulement cela fait 20 minutes que j'attends »

    Là, je la comprenais, j’étais la depuis près de dix minutes et nul ne s’était manifesté, étrange … Et qu’importe, s’ils veulent se faire voler, c’est leur problème, pas le mien …

    Thalie : « Aucune idée, je n’ai vu personne … »

    Ma voix était tout à fait naturelle, je disais la vérité, tout était parfait … Je me remis alors à regarder le livre qu’elle tenait. La page était ouverte à celle de mon espèce, nous étions décris d’une façon pathétique, comme si un simple pieu allait nous tuer … Pathétique ! La page était remplie de témoignage aussi exaspérants que notre « description ». Je ne pus m’empêcher de lâcher un petit rire moqueur, cependant trop bas pour que l’humaine l’entende. Je levais la tête et la fixai.

    Thalie :
    « Vous croyez vraiment au vampire ? »

    J’étais sérieuse, calme et posée, il en était de même pour ma voix. Avec le temps, j’avais appris à prendre des intonations humaines, bien que suaves et mielleuses, qu’importe, n’importe quel mortel pourrait parler ainsi. Mon regard se posa de nouveau sur la page, j’avais l’impression de lire un vieux roman lugubre mettant notre espèce sur le devant de la scène, quoi qu’il y eût une part de vrai, nous sommes d’une beauté éblouissante, nous sommes immortels, nous sommes des buveurs de sang (non, vraiment ?!) et bien sûr, le soleil nous est problématique mais pas meurtrier … Ces parts de vérités étaient perdu au beau milieu d’un bon nombre d’erreurs, comme dans tous les livres parlant de nous …
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